C’est l’une des principales surprises réservées par le Sénat: à l’occasion du vote du projet de loi Macron, le 12 mai, le Sénat a montré qu’il souhaite la mise en concurrence des services ferroviaires à partir du 1er janvier 2019 […] Cette disposition correspond à la position de l’Association des régions de France (ARF) exprimée il y a plus d’un an dans son manifeste. Mais il y a peu de chance qu’elle reste dans le texte qui sera définitivement adopté : lorsque l’ARF avait déposé un amendement dans ce sens dans le cadre de la loi ferroviaire, le gouvernement l’avait fait sauter. Gageons qu’il en sera de même cette fois-ci encore.
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