L’élection d’Emmanuel Macron ouvre-t-elle une nouvelle ère pour l’Etat actionnaire ? (…) « Nous devons nous interroger sur la pertinence de nos niveaux de détention », avait dit le ministre. Cette déclaration préfigure une poursuite des cessions. ADP, Orange, Engie ou Safran pourraient figurer sur la liste, sans compter les parts chèrement acquises au capital de Renault en 2015 (…)
Emmanuel Macron est visiblement le défenseur d’un « soft control », qui passe davantage par la régulation que la détention capitalistique sur le modèle de ce qui a été fait pour l’Arafer. En 2015, les compétences de cette autorité ferroviaire avaient été étendues à l’ensemble du transport interurbain…