Dès l’entrée en vigueur, ce 15 octobre, du décret d’application d’une des mesures emblématiques de la loi Macron, à savoir l’ouverture du marché domestique de l’autocar, la nouvelle Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) a pris ses fonctions. Mais la méthodologie que l’Autorité entend appliquer afin d’évaluer l’impact sur l’équilibre économique des trains régionaux ou des autocars départementaux reste encore à définir.
La nouvelle Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) – qui se substitue à l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf) – aura précisément un rôle déterminant à jouer dans la régulation de l’ouverture à l’initiative privée des services réguliers interurbains de transport public routier de personnes. Les débats organisés lors du 23e congrès de la Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV) ont d’ores et déjà permis d’en dévoiler certains aspects.
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