Après les débats sur le volet mobilité du projet de loi à l’Assemblée nationale, les régions saluent des avancées, mais jugent encore trop faible leur pouvoir dans ce domaine, par rapport à l’Arafer (Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières).
Les discussions de la loi Macron en commission spéciale et en séance publique à l’Assemblée ont quelque peu renforcé les pouvoirs des autorités organisatrices de transports (AOT). Mais ils restent limités par rapport à ceux de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (l’Arafer).
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