La réforme ferroviaire votée par le parlement renforce les pouvoirs de l’ARAF, contrairement au projet de loi déposé par le gouvernement. C’était, explique son président, la contrepartie indispensable à l’acceptation par Bruxelles, d’un système ferroviaire intégré. Un régulateur qui pourrait bien, dans une prochaine étape, voir ses compétences élargies aux transports terrestres.
Lire l’édito : « La Grenouille et le scorpion » et l’interview de Pierre Cardo dans Ville Rail & Transports daté du 1er août 2014