Guillaume Pepy aurait bien aimé s’en débarrasser. Avec la réforme ferroviaire votée en juillet dernier, le patron de la SNCF a bien failli y parvenir : la première version du texte prévoyait en effet de limiter les pouvoirs du gendarme du rail de façon drastique. Mais voilà : c’était compter sans la ténacité du président de l’ARAF (autorité de régulation des activités ferroviaires) Pierre Cardo (…)
Lire l’intégralité de l’enquête de Capital sur les autorités indépendantes : « Les nouveaux shérifs du business » (septembre 2014)