(…) Les ambiguïtés du texte (du projet de loi de réforme ferroviaire) se cristallisent autour des évolutions du rôle de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf). Le gouvernement doit composer entre eurocompatibilité et volonté de mettre la SNCF au centre du jeu ferroviaire. Les débats en Commission du développement durable, ont rassuré le régulateur sur un point. Un amendement approuvé par Frédéric Cuvillier, lui assure de retrouver son avis conforme sur la tarification que le projet de loi devait lui retirer.