(…) Le projet de loi prévoit que la réunification de RFF et de SNCF sera contrebalancée par un arbitre fort, l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf). Dotée de nouveaux pouvoirs, elle devra vérifier que les conditions d’accès au réseau soient équitables pour l’ensemble des opérateurs, la SNCF mais aussi ses concurrents qui arriveront au plus tard en 2023 pour le TER.