Rien n’est jamais simple avec la SNCF. Et tout se complique depuis quelques semaines pour son patron Guillaume Pepy. Trois nouveaux fronts se sont ouverts : la récente augmentation des prix tombe mal face à des usagers déçus, l’offensive du covoiturage , l’essor de l’avion et bientôt, le retour de l’autocar. La réforme du ferroviaire soulève, elle, de plus en plus de doutes sur sa capacité à assurer une saine concurrence sur les rails français.
Lire l’intégralité de cet article dans le Journal du dimanche (version papier) du 11 janvier.