Le projet de loi sur la réforme ferroviaire est examiné au Sénat, à partir de mercredi 8 juillet 2014, dans une relative indifférence. Après le vote à l’Assemblée, les acteurs du système sont relativement résignés. L’Association des régions de France (ARF) et l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP) par exemple, font le constat que le texte n’abordera pas l’ouverture à la concurrence. En revanche, l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf) est globalement satisfaite même si son président, Pierre Cardo, reste « perplexe » devant certaines dispositions.
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