Présenté en conseil des ministres le 10 décembre 2014, le projet de loi Macron prévoit une libéralisation de l’autocar qui ne fait pas l’unanimité. Certains élus et professionnels redoutent que sans garde-fou, TET et TER s’en trouvent menacés. A moins de permettre au rail de baisser ses coûts en expérimentant la concurrence. Le PS Gilles Savary et l’UMP Dominique Bussereau, présents au colloque de l’association TDIE, sont sur la même ligne.
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